mercredi 16 novembre 2011

Mission Impossible II : take 2

Il faut l'avouer, la prise 1, "prise officielle" de Mission Impossible 2 n'était pas terrible. Après m'être changé les idées (60km de vélo, Quick The World, Sharp The Action à la batterie, une bonne douche et un dîner sommaire), je suis revenu aux affaires... Voici la prise 2, que j'ai pu faire notamment sur le sec (mais toujours avec des réglages audio pourris). Et sur le sec, 10 minutes de retard, c'est vraiment beaucoup.

Mission Impossible II : take 1

À l'occasion du 11/11/11 à 11h11min11s , j'ai réalisé ce remake à bord de la X2011 dans GT5, sur la dernière course du Dream Car Championship (enregistrement commencé à 11h00). Départ cette fois-ci avec 10 minutes de retard (pour les impatients rendez-vous directement à la 11ème minute). Cette prise s'est faite dans la spontanéité la plus totale : je m'y suis lancé sans entrainement préalable, et suis tombé un jour de pluie (ce que j'ai peu apprécié...), et un mauvais réglage audio (suite à des bidouilles la veille).

vendredi 11 novembre 2011

Petite surprise pour tout à l'heure !

Laissons de côté un moment les événements saisonniers, en cette date un peu spéciale, j'ai choisi de vous faire une surprise...un peu spéciale. Pour un indice/avant-goût de cette surprise, vous pouvez vous fier à cette vidéo...

À tout à l'heure !


(remarque : le tournage aura bien lieu à l'heure que vous avez devinée ; en revanche, il me faudra au minimum quelques minutes pour poster la vidéo...J'utiliserais la même méthode d'enregistrement que pour la vidéo ci-dessus, mais en enregistrement différé...donc oui, je sais comment poster mes vidéos en ligne !)

dimanche 9 octobre 2011

Course aux évènements saisonniers

N'ayant pas le temps de m'entrainer pour le défi ultime de GT5, à savoir l'or dans le défi Sebastian Vettel, j'ai décidé de m'efforcer à garder la main sur les évènements saisonniers. Très techniquement, il s'agit de nouvelles épreuves de courses individuelles (ou contre-la-montre ou défis dérapages, mais qui ne me concernent pas pour le moment), qui sont proposées au fil du temps (typiquement 1 à trois nouveaux évènements par mois, à la grosse louche, d'où l'appellation d'évènement saisonniers. 

Ces courses ont le double avantage d'allonger (artificiellement, je sais...) la durée de vie du jeu, et de m'obliger à allumer la console une fois de temps en temps pour ne pas perdre la main (je vous avoue que là, c'est un peu trop tard, j'ai du boulot pour revenir au mieux de ma forme !), et éviter à ma PS3 de trop prendre la poussière, grâce à la réactivation périodique de ses ventilateurs qu'impose son fonctionnement.

À venir, une liste de ces évènements, et mieux, et un commentaire de mes réalisations !

vendredi 1 juillet 2011

Les 24heures du Nürburgring

J'ai couru l'ultime épreuve il y a un mois jour pour jour,  mais je n'ai pas trouvé le temps d'en  faire un compte-rendu entre temps...Mes souvenirs risquent d'être parcellaires...

Pour cette course qui s'annonçait éprouvante, je me suis permis une certaine entorse au déroulement classique : j'ai commencé la course le matin (10h, j'avais prévu 8h au départ). J'ai veillé à me reposer au mieux avant l'épreuve, mais mon corps n'a pas joué le jeu, j'ai mal dormi les deux nuits précédent l'évènement. 
Debout vers 6h, un problème technique m'empêchera de commencer à temps, et un problème se pose : j'ai commencé depuis quelques temps la quête des plus de 1000 véhicules du jeu, ce qui fait que j'ai dilapidé ma fortune. Fortune constituée en usant ma RedBull X1. Je n'avais pas 500 000 crédits or il fallait que je rectifie le chassis de ma vaillante, et que je fasse une remise à neuf du  moteur  (500 000 Crédit pour chacune de ces opérations). C'était sans espoir, même en se donnant pour objectif de ne commencer qu'à 10h. Alors je décide d'inaugurer ma deuxième X1 à l'occasion de cette course. Pour "tuer le temps", je décide de faire un ultime tour d'entraînement. Pour me motiver à bien faire, je me suis dis intérieurement "celui-là, tu le posteras sur Youtube". Cela a plutôt bien marché car j'ai tourné en moins de 5' sur le circuit des 24h, mais cela m'a fait découvrir que la tant commentée fonction d'export vers Youtube n'existait pas...

Départ de la course, 10h heure réelle. Je commence très prudemment, puis je hausse le rythme, très vite, je me mets à fond pour creuser l'écart, l'expérience des 24h du Mans m'ayant enseigner que c'est au début que l'on se constitue son avance vitale (vitale au sens premier du terme, celle qui permet d'aller casser la croute, d'aller aux toilettes ou tout simplement dormir). J'arrive, assez rapidement à ce qui s'avera être mon avance moyenne, environ 8 tours (soit environ une heure), puis l'équivalent d'une heure trente par la suite. Je commence par des relais de 4 tours, pour passer à 6 grace à une conduite plus sobre et plus efficace pour les pneus. Je profite des premiers instants de courses pour signer mon record de piste, à 4'54 (comme aux essais), car je sais que la fatigue des heures à venir m'empechera de signer à nouveau un tour en moins de 5'.

Afin d'avoir la paix, je décide de manger un déjeuner, vers 14-15h si mes souvenirs sont bons. Je ne tarde pas, 20 minutes environ, je me relance. Je devrais me rendre plusieurs fois au toilette, car j'avais baclé ma préparation physiologique. La viscosité de l'augmentation de l'avance s'installe progessivement. Cela s'explique pas mal par le fait que j'ai beaucoup de mal à me faire à la nuit qui s'installe, je me perds coup sur coup dans la partie du nouveau tracé.

Très vite, le tour en cinq minutes et des poussières devient un lointain souvenir. Je suis souvent en six voir sept minutes, ce qui provoque une stagnation de l'écart. Juste avant le déjeuner, je suis à environ douze tours, et reviendrais avec environ 8 tours. 

Puis, ce que je redoutais arriva, il s'est mit à pleuvoir. Exactement comme au Mans (vers minuit, et cela avait duré jusqu'à la fin de la course). Cela a provoqué une sorte de statu quo : mes concurrents étaient bien plus atteints que moins par la pluie, perdant deux minutes au tour, en revanche, cela m'empêchait de m'assurer les 180 tours de course me mettant définitivement à l'abri du deuxième. Je ne réalisais pas à ce moment que mon écart tendait tendanciellement vers une quinzaine de tours. 

La (vraie) nuit. J'ai multiplié les traitements anti-fatigue (nourriture riche en glucides et en calories en général, café et thé), mais mon corps y semblait insensible. La nuit fut donc éprouvante. Je ne peux compter le nombre de fois où j'ai du m'arrêter cinq, dix ou quinze minutes pour me reposer. 

Le petit matin. Dans le jeu, puis dans la réalité. La pluie a cessé relativement vite, je m'étonne de devoir repasser aux slicks. Cela veut dire aussi qu'il me faut conduite plus proprement. C'est la période de calculs. à 7, puis 6, puis 5 heures de la fin, je ne pensais qu'à ça. La fin. Finir. Me reposer enfin. Je n'en pouvais plus, j'étas abattu moralement puis physiquement. Je consacrais une moitié de mon cerveau à rester sur la piste (je sais, c'est pas suffisant), et l'autre à calculer quand est-ce que je pourrais me garer sur le bas côté. Bien que j'avais les bons résultats dès le début, il m'a fallu du temps pour réaliser que j'aurais le droit à à peine plus d'une heure de répis, ce qui est scandaleusement insuffisant. Lorsque je ne pouvais plus nier la réalité, le désespoir provoqua une étrange réaction en moi. Je pouvais un trait sur les 200 tours, ça c'est  sûr. Mais peut-être ne serais-je même pas en mesure de faire 180 tours ! Le défi s'impose de lui-même, les deux-trois dernières heures de course furent sous le sceau de l'objectif 180. Je passais presque toujours autant de temps sur les calculs, mais là sous un angle alarmiste (ce qui m'a réveillé au passage). Je me suis lancé un défi très délicat, cela se jouerais à quelques minutes près avec une conduite "moyenne". J'augmente ma cadence pour me placer systématiquement sous les 5'30 au tour. Mais pour que cela marche, il me faut aussi adopter une stratégie de relais particulière ! Je switche délicatement vers cette cadence de relais, ce qui m'impose provisoirement un relais de 7 tours, que je réussis sans trop d'encombre (toujours sous 5'30 au tour). 

Bon j'oublie que c'est difficile à imaginer quand on n'a pas piloter la X1 sur le ring.
Piloter une X1 déjà, c'est dur, trèèèèès dur... Pour être plus véridique, il faut dire que c'est une question d'habitude. Lorsque vous arrivez sans prétention au niveau 24, et que vous vous offrez la Formule GT (monoplace de type F1), sans entrainement particulier, vous êtes complètement dans les choux (comme l'a montré Hammond dans Top Gear et sa rubrique "How Hard Can It Be ?", piloter une F1 est loin d'être évident pour le   commun des mortels). À la limite la "récupération de l'adhérence" (aide au pilotage de type "mode super triche ON") permet de revenir à des performances plus conformes à ce que l'on a pu développer sur cette progression dans le jeu. J'aurais tendance à croire que les meilleurs joueurs retrouvent très vite leurs repères, surtout qu'ils ont connu la F1 dans les précédents Gran Turismo, mais il m'a fallu une bonne centaine de kilomètres sinon plus pour me remettre dans le bain. 

Oui, je parle de F1, et alors ? S'il faut un certain temps d'adaptation pour être performant en F1, faire de même avec la X1 est encore plus dur. Ne mâchons pas nos mots, ce prototype paraît surnaturel. Ce n'est que parce que j'ai quelques milliers de kilomètres derrière moi avec que prendre des virages lents à 300 à l'heure (vitesse de pointe d'une F1), le Caroussel à 180 de vitesse minimale, être à plus de 400 dans les lignes droite, et ne pratiquement pas freiner me paraisent faciles. Lorsque l'on découvre la X1, on a l'impression que le jeu est en accéléré, on est dehors avant même de pouvoir dire ouf. 

Piloter la X1, avec l'habitude (près d'une heure par semaine pendant plusieurs semaines, à mon niveau de compétences (tous les permis en or, etc...), on y arrive. Surtout que c'est un formidable gagne pain ! Maintenant piloter la X1 sur le Grand Nürburgring, c'est d'un autre niveau.  Sur les 200 et quelques tours que j'ai fait sur ce circuit (entrainement compris), je n'ai réussi qu'une grosse vingtaine de tours clean, j'ai donc 9 chances sur dix de sortir de la piste. Aussi pour réussir mon défi, il a bien fallu que presque tous mes tours clean soit dans ces deux dernières de course. Cela s'est, je l'avoue, fait au prix d'un retour de l'ABS (à "10%", 1 sur 10 pour être précis) ainsi que du TCS (même réglage de 1 sur 10).

Clean ou pas clean, un tour du Ring à fond de panier avec la X1, c'est un tour à près de 100 litres pour 100 km. Avec un circuit de 27km, un réservoir de 100L, le calcul est vite fait, avec un relais de 4 tours vous vous retrouvez à quelques litres de la réserve ultime d'un litre (et sa restriction de vitesse à 80km/h...). Autant dire que pour assurer 5'30 sur des relais de 6 à 7 tours, il faut ruser, comprendre la machine pour faire des charges partielles au bon régime moteur, avec le bon couple moteur, aux bonnes vitesses et au bons endroits (virages, dénivelés), pour perdre le moins de temps possible.

Au final, 180 tours s'est avéré largement faisable (j'ai passé la série de tour où je devais me dire "tu sors une fois et c'est fini tu peux oublier pour les 180 tours), j'ai même pu me proposer un autre défi, l'objectif 182 tours. Pourquoi 182 ? Pour un hommage que seul une partie de mon entourage proche peut comprendre, mais passons sur ce détail. Dans le grandes lignes, il me fallait gagner sept minutes là où il ne semblait possible que j'en gagner six. Or je me montrait intransigeant sur un point, ce sera ou 182 tours ou 180. Pas question d'en faire 181. Je me suis montré de plus en plus incisif, ce qui m'a fait identifié mes principaux points noirs sur le circuit. L'un deux étant Adenauert Forst.
Je ne tergiversais plus en dépassant mes adversaires (mon replay montre à quel point je pouvais m'amuser pour les dépasser d'ordinaire, même si contrairement au Mans j'étais moins attentif aux passages en feu de croisement). Puis, tour 172, grave erreur. J'oublie de m'arrêter aux stands, inutile de préciser pourtant que j'étais revenu à une stratégie à quatre tours par relais. J'ai pu rejoindre les stands sans panne sèche, en perdant moins de temps que ce que m'aurait coûté mon arrêt, ce qui a décalé ma stratégie (arrêt tour 177 puis tour 181 si tout se passe bien).

Et effectivement, tout se passa bien. Après 23 heures et 58 minutes de course environ, je me permets d'ignorer les stands pour entrer dans mon 182ème tour (j'aurais pu m'arrêter, non pas parce qu'un arrêt, c'est maximum 70 secondes pour les 100 litres, mais parce que l'on franchit la ligne avant le ravitaillement). Je sais pertinemment que je risque fort de tomber sur la réserve, mais "who care ?" j'ai tout mon temps du fait de mes 22 tours d'avance désormais. Tout mon temps ? Pas tout à fait. J'ai des obligations personnels m'obilgeant d'avoir coupé la console pour 10h10. Je ménage mes quelques litres rapides tout en me pressant. C'est ainsi que je conclus cette édition des 24 heures du Nürburgring, avec les conséquences qui en découlent, et qui seront l'objet d'un prochain billet.

jeudi 21 avril 2011

Les 24 Heures Du Mans de GT5 : le résumé

Il m'aura fallu moins de neuf jours pour répondre par la positive à ma précédente interrogation. J'ai donc couru mes 24 heures du Mans de mardi à 16h (pour terminer mercredi à 16h). 

Petit retour sur mes précédentes courses d'endurance, mise à part les deux courses courtes et les 4h en roadster, il n'y a pas d'autres mots, elles étaient médiocres. Une cause récurrente était la fatigue. Je dois vivre mes vacances dans le cadre d'une vie d'étudiante, j'ai donc casé mes courses sur des coups de tête où la disponibilité horaire me le permettait. Pas question de prendre en compte ma forme physique voire physiologique, pas question même de la moindre préparation. J'ai donc énormément souffert de mes 9 heures de Tsukuba, que j'ai terminé à 2h30 du matin, alors que j'étais déjà crevé à 22h, l'occasion de démontrer à la communauté à quel point les fan-car sont s'excellentes jardinières. Une autre cause importante, le phénomène de "démotivation" (dont j'ai découvert le sens avant-hier). J'ai trouvé ma source en me choisissant dans mes courses un souffre-douleur, dont je pourrissais la course. Ceux qui me connaissent ou connaissent mes autres blogs ont vite deviné lequel était-ils sur les 500 miles d'Indianapolis ainsi que sur les 24heures que je viens de faire. En revanche, je me suis malheureusement découvert un souffre-douleur sur les 9h de Tsukuba, "La HPA grise", la R32 du préparateur canadien. Parmi les misères que je lui ai fait subir, une dont je suis particulièrement fier. J'ai réussi à lui faire rentrer aux stands en dehors de ses fenêtres de ravitaillement, et ceux qui ont essayer la manœuvre au cours de leur désœuvrement ont compris que ce n'est pas quelque chose que l'on réussit du premier coup. Je n'ai malheureusement pas réitéré l'exploit avec la R10, en revanche je l'ai faite terminer derrière une des deux Viper.

Je reviens sur ce détail pour justifier ma médiocre durée de participation : près de 21 heures de course ! En lisant mon précédent billet, vous aurez compris que plus c'est court, mieux c'est.
Je commence doucement, la vie est belle, le circuit est facile, je prends un tours tous les cinq tours, je me laisse aller à ma démotivation, tout en commençant à hausser le rythme sur mes tours sérieux. Je m'alloue une petite heure de dîner, et tombe à moins de dix tours d'avance du second.

Juste un mot pour dire que le spectacle de la tombée de la nuit dans GT5 est absolument magnifique. C'est d'une beauté à couper le souffle, et c'est d'un réalisme saisissant. La beauté des reflets sur le capot moteur de la X2010 était telle que je m'efforçais de la maintenir propre pour en profiter. On pouvait lire l'heure à travers le ciel. "Oh là, on est à moins d'une heure du coucher de soleil" ! Malheureusement l'heure incongrue de mon dîner m'a fait louper le moment magique du basculement, j'étais déjà dans le noir lors de ma reprise.

La nuit, synonyme de sommeil, de calme, de repos. Il a fallu m'ôter toutes ces idées de la tête, ou plutôt du corps où elles étaient farouchement encrées. C'est peu avant 1h du matin que j'ai attaqué mon seuil difficile. Problème, avec mon diner et la nonchalance qui a suivi, c'était justement à ce moment que je devais attaquer pour m'offrir une nuit de sommeil. Mais je n'était pas en mesure de le faire, juste de quoi me maintenir à une vingtaine de tours d'avance. Comme je ne tenais vraiment plus, je m'octroyais à intervalles régulier des "repos" de 4 ou minutes, à l'aide du minuteur de mon iPhone. Je n'osais pas (à tort) me reposer plus longtemps,  cherchant faire passer mon heure et demi à un bon trois heures d'avance pour me reposer. 

Je commençais sérieusement à désespérer de récupérer des forces, je me suis jeté sur mes réserves alimentaires du mois pour me forcer à rester éveiller (technique déjà éprouvée en cours). Peine perdue. J'ai eu un nombre incalculable d'absences, allant jusqu'à plusieurs secondes. C'était très dur, je me rappelais avec force pourquoi cette course est éprouvante (et quasi-impossible seul). J'avais même du mal à mettre plein gaz, la pédale d'accélérateur me demandait un effort difficile à maintenir. Comme si cela ne suffisait pas, il s'est mis à pleuvoir, et lorsque la piste fut détrempée, j'ai eu du mal à éviter les tête-à-queues dans les seuls virages du circuit que sont les virages Porsche et entre Dunlop et le Tertre Rouge. J'ai entrepris sérieusement de faire rentrer la R10 dans les Stands à ma guise, sans succès.

Au petit matin, la renaissance de mes espoirs. J'ai pu me libérer une petite demi-heure pour petit-déjeuner. Et encore, dans l'optique de terminer plus tôt, et "en perdant beaucoup de temps plutôt que beaucoup, beaucoup de temps", j'ai passé une partie du mon repas à rouler. Je devais bloquer le volant avec le genou, car la X2010 a une dynamique assez particulière. Pour le reste, j'étais définitivement de nouveau en forme, j'aurais pu battre mes 2'16" si ce n'était la pluie et mes absences qui persistaient (je me "réveillais" régulièrement contre le mur de pneus des chicanes ou encore dans le bac à sable avant Indianapolis).
La délivrance a eu lieu peu avant 15heures, elle a tardé car lorsque je me suis assuré d'avoir fait plus de tours que ne pouvait en faire le second, j'ai entrepris de bloquer la progression de la R10,voire de la faire reculer. Le comportement de l'ordinateur s'est montré efficace, je n'ai pas longtemps joué ce jeu. Je me suis garé après la Chicane Ford, dans la pelouse en face de l'entrée des stands. Après quelques tweets et commentaires, j'ai franchis la ligne d'arrivée 6 secondes après les 24heures, 16 tours devant la R8 (j'en ai fait 362).

Je retiens que tout a été facile sauf la nuit, la démotivation, et peut--être la fin, voire toute l'après nuit. J'ai mal géré ma course, je ne l'avais même pas préparée...La question se pose : comment vont être mes 24heures du Nürburgring, circuit autrement plus technique (et donc moins reposant) ? Réponse début juin, car pour le moment, j'ai pas assez d'Xp !

mercredi 13 avril 2011

Gran Turismo 5 : point d'avancement à l'aube de ma semaine de Pâques

Je commence par le proverbe du jour (une fois n'est pas coutume, non c'st pas celui-là auquel je voulais faire allusion) :


Les promesses les plus ambitieuses sont les plus difficiles à tenir.


Or j'avais promis de continuer à laisser ma PS3 se faire couvrir de poussière, n'est--ce pas ? Il se trouve que les choses ne se sont pas exactement déroulées comme prévu.


Les choses s'améliorant en ce qui concerne ma charge de travail, j'ai voulu pratiquer un programme de maintien de niveau comprenant une heure de pratique hebdomadaire (l'idéal étant plutôt du côté des 15 minutes par jour, mais je devais faire face à de lourdes contraintes logistiques). 


J'ai échoué dans le sens où j'ai déroulé les courses en extrême, et j'ai appris tellement vite la F1 que j'ai fait la Formule GT dans la foulé (vous avez compris que ça ne tient pas dans un une heure par semaine, un tel programme !). Je me laisse tenter alors par l'idée de commencer mon programme B-Spec. "Après tout, c'est pas nous qui jouons, donc je devrais trouver le temps de le faire ? Sauf que le début demande pas mal d'implication, le temps que nos pilotes se fassent la main. Au final, ils se sont si bien débrouillés qu'ils m'ont débloqué le défi RedBull, et que j'ai du mettre en place un programme de courses en ligne pour qu'ils puisse s'adonner aux joies des courses d'endurance (qui nécessite des Xp). Entre temps, j'ai fait le Bronze sur chaque épreuve du défi, et j'ai commencé mon entrainement au pilotage de la X1 2010 par quelques courses d'endurance (c'est de loin, avec peut-être les 15 minutes par jour, la meilleure méthode pour apprivoiser la bête). Du coup, au final, j'en suis là :


96%, soit neuf courses (toutes en endurance, dont trois seulement en B-Spec) avant la fin. Pour les trophées, je n'ai encore rien fait allant dans ce sens (j'ai fait quelques trophées faciles, mais sans trop chercher à les faire). Si seulement deux de mes six pilotes apparaissent sur cette capture d'écran, c'est que les quatre autres sont en course sur les 9h de Tsukuba.


J'ai par ailleurs découvert une astuce qui va me permettre de faire facilement les 24h du Mans (ainsi que les 24h du Nürburgring !) tout seul (je suis devenu réaliste avec le temps, il va être très compliqué pour moi de motiver un pilote dans mon entourage) : faire la course avec la X1 2010, tout simplement.
Certes, la durée de la course (24h) est incompressible, même avec la X1. La durée effective de roulage, elle l'est facilement avec la X1, puisqu'à raison de je ne sais combien de tours d'avance sur les autres, il me suffit de boucler le nombre de tours qu'ils peuvent effectivement réaliser, d'aller me coucher (on parle de 11h de durée de sommeil garantie, à raison de 13h de course nécessaire pour boucler les quatre centaines d'heures), et de revenir 5 minutes avant la fin pour franchir la ligne d'arrivée. Certes, ça enlève pas mal du challenge (surtout par rapport au temps où j'ai du le faire avec la CLK GTR qui ne vaut pas un clou en temps que sport proto, encore moins avec ses 200kg de lest !!!), mais ça rend le défi à ma portée dans une période où je ne devrais avoir que mes cours comme préoccupation.


La question est la suivante : vais-je trouver suffisamment d'Xp en A-Spec pour les 24h du Mans (niveau 35, je suis niveau 31 pour le moment) durant ma semaine de vacances ? Devrais-je me contenter des 9h de Tsukuba (où l'on peut appliquer une technique similaire) ?


Réponse dans une dizaine de jours !!!

lundi 7 mars 2011

La belle illusion

Vous vous demandez quelle est la cause de ce silence radio de près de deux mois ? Elle est simple. Du fait des circonstances particulières que j'ai connu en décembre, j'ai cru possible une progression étalée aux côtés de mes cours. Il n'en est rien. Il ne m'a pas été possible de toucher de nouveau à ma PS3 depuis mon dernier billet. Et je crains que la mise à jour en 1.06, proposant le B-Spec via n'importe quel navigateur, n'y changera rien. Je n'ai plus la tête à ça, les études me prennent vraiment trop de temps.

En attendant la prochaine accalmie....




dimanche 9 janvier 2011

Gran Turismo 5 : premier point d'avancement de ma partie

En ce dimanche 9 janvier au soir, je suis à l'aube d'un tournant dans ma partie. J'ai fini toutes les courses A-Spec jusqu'au niveau Extrême, où j'en suis à la recherche de sous pour une auto du DTM. Je viens de m'offrir une Formule GT, celle qui prenaient la poussière chez le vendeur de véhicules collectors en ligne.


Mise à part l'épine dans le pied que représente l'épreuve IC-10 (examen du permis C international), j'ai toutes les épreuves de permis (S compris)...en Or. Les spécialistes parmi vous doivent être au courant de la mini-polémique sur le nouveau format du permis S (voire sur le niveau du jeu dans son ensemble), je me prononcerais à ce sujet à l'occasion d'un autre billet. 


Côté épreuves spéciales, j'ai presque tout obtenu. Venant tout juste de décrocher mon niveau 24 (qui m'a permis, en plus des 4 900 000 crédits accumulés lors de ma progression, et ce malgré ma manie d'acheter des véhicules ur des coup de cœur, de m'offrir la Formule GT évoqué plus tôt), je n'ai pas eu le temps d'assister au dernier niveau de l'école de pilotage AMG Et sachant ce qui m'y attends (contre-la-montre sur le Nürbürgring Nordschleife par temps de pluie avec la SLS AMG...Non non, je n'ai pas vérifié, je l'ai deviné), je préfère prendre mon temps. Après ça, je redore mes chronos du premier niveau (j'en ai laissé 2 en argent, faute de mieux), puis deux du tour Italia, et toute la collection des trophées des épreuves spéciales sera en Or également.


 Il me reste donc, pour la partie classique, que 5 malheureux "championnats" (au sens large du terme)...Mais les cinq plus long ! J'ai fait, de loin, le plus facile. Pour la suite, ce sera à coup de courses de plus de 5 tours (longueur typique des dernières courses qui m'ont occupées ces derniers jours), pour le championnat GT japonais, ce sera 10 tours par course, pour la Formule GT, ce sera 20 ! sans possibilité d'interrompre le championnat à chaque fois. 


Vous souvenez-vous de mon détail de temps Time Tracker ? Le revoici grâce à la dernière version du dit-logiciel :
Enfin, pour faire bonne mesure, voici également mon statut de progression :



Ce billet ayant pour but de faire le point sur ma partie (point que j'aurais du faire il y a quelques temps déjà), je réaliserais le récit de ma progression à l'occasion d'un prochain billet.

mercredi 5 janvier 2011

TOUT ÇA POUR ÇA ?!!

Savez-vous qu'il vous faudra accumuler 247 millions de crédits pour vous offrir tous les véhicules de Gran Turismo ? 247 millions de crédit, une somme qui laisse songeur...mais qui n'a rien d'insurmontable.
Ne sachant rien des conditions de transfert du garage de Gran Turismo PSP vers Gran Tursimo 5, j'ai choisi la solution "sans regret", obtenir les 830 véhicules du jeu. Il me fallait faire vite : mes vacances, déjà bien bouffées par diverses obligations, ne devaient pas se résumer non plus à une quête de sous sur GT PSP. Je ne pouvait pas remettre le transfert à plus tard car j'allais avoir besoin de certains véhicules que je comptais importer. La solution Veyron sur Test Course, solution doublement rapide (150 000 crédits récolté à plus de 390 km/h de moyenne), s'avère rapidement insuffisante. J'ai appris à automatiser la tâche, c'est à dire faire autre chose en même temps pour pouvoir le faire plus longtemps (et afin que ce soit moins pénible !). Je mle suis (entre autres) endormi avec la PSP, réveillé avec la PSP...jusqu'à cette révélation : j'ai deux PSP. Avec chacune leur Gran Turismo PSP.

Lorsque l'on a deux PSP, il suffit der les faire s'affronter l'une contre l'autre, plutôt que de m'embêter sur des courses sans autre intérêt que le pécunier. Car Benoît est loin d'être parti avec GT4, il est la raison d'être des courses de GT PSP, c'est votre joker.Après avec remporté toutes les courses dans tous les niveaux de difficulté, vous pouvez affronter le mode ad-hoc l'esprit tranquille. Car si vous devez disputer une course particlièrement délicate, vous pouvez mettre à contribution Benoît, qui se chargera de la gagner pour vous.
Ce qui veut dire que techniquement, les duels sur test course sont possibles aussi ! la prime reste la même (150 000 crédits), mais ce qui change du tout au tout, ce sont les Jackpot Races. Pour ces courses, les gains sont multipliés par 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 voire 9 ! Mieux, en cas de victoire du joueur désigné par la Jackpot Race, il remporte tous les gains !

Il m'aura suffit de quelques jours à, autant que possible, appuyer sur croix toutes les quatre minutes (car j'avais poussé le vice à choisir une SLR pour "le joueur 2", avec IA, afin qu'il termine dans les fesses de ma Veyron et qu'on aie pas à attendre les 15 secondes de délais de fin de course !), et après quelques promenades dans "les jours" pour acheter les derniers véhicules, ma collection était complète. Je n'allais pas tarder à déchanter...

Pour fêter ça, je décide de lancer le mode arcade de Gran Turismo 5, que je décrouvre par la même occasion. Et là, je découvre une sélection "Garage GT PSP" pour le choix du véhicule...Je découvrirai qu'en effet le transfert de garage sert à porposer plus de véhicules pour le mode arcade. Pire, on ne peux les ajouter que par sélection de 50. et choisir 50 véhicules parmis 830, je vous laisse imaginer la galère que c'est.

Tout ça pour ça. Tout ce travail et ce temps pour agrémenter un mode que je n'utiliserais presque jamais.